Histoire de la Révolution
de Maxime Martinot
Sélection officielle 2019
L'avis du FIFIB
Ce film-essai explore la polysémie et la réversibilité du mot « révolution », ainsi que les images qui en découlent. Il se déplace sur la carte des luttes : deuils, gloires, traces se trouvent tous imbriqués dans le temps présent.
Biographie/filmographie
Après quatre années de formation en ébénisterie qui l’initient à l’artisanat autant qu’à l’histoire de l’art, Maxime Martinot entre en école préparatoire de cinéma en 2008. Il y rencontre ses futurs camarades, avec qui il va travailler sur de nombreux projets cinématographiques, en échangeant et partageant les rôles dans le processus de fabrication. Il est passé par le Collectif COMET, qui produit des films avec un esprit d’indépendance et de liberté de création. Pendant ses quatre années d'études universitaires, il réalise plusieurs courts métrages, de l’essai à l’expérimentation, ainsi qu'un long-métrage, Trois contes de Borges, sorti en salles en 2018. Son travail se situe dans une réflexion sur les possibilités et non-possibilités de liens parole/image, à la recherche des lieux et des circonstances qui permettent la non-intentionnalité, dans la lignée du travail de Fernand Deligny, éducateur, cinéaste et écrivain sur lequel il prépare un dossier de thèse et un projet de film.
Maxime Martinot
de Maxime Martinot
Après quatre années de formation en ébénisterie qui l’initient à l’artisanat autant qu’à l’histoire de l’art, Maxime Martinot entre en école préparatoire de cinéma en 2008. Il y rencontre ses futurs camarades, avec qui il va travailler sur de nombreux projets cinématographiques, en échangeant et partageant les rôles dans le processus de fabrication. Il est passé par le Collectif COMET, qui produit des films avec un esprit d’indépendance et de liberté de création. Pendant ses quatre années d'études universitaires, il réalise plusieurs courts métrages, de l’essai à l’expérimentation, ainsi qu'un long-métrage, Trois contes de Borges, sorti en salles en 2018. Son travail se situe dans une réflexion sur les possibilités et non-possibilités de liens parole/image, à la recherche des lieux et des circonstances qui permettent la non-intentionnalité, dans la lignée du travail de Fernand Deligny, éducateur, cinéaste et écrivain sur lequel il prépare un dossier de thèse et un projet de film.