Jane par Charlotte
de Charlotte Gainsbourg
Séance en présence de Charlotte Gainsbourg
Hors compétition 2021
Synopsis officiel
Charlotte Gainsbourg a commencé à filmer sa mère, Jane Birkin, pour la regarder comme elle ne l'avait jamais fait. La pudeur de l'une face à l'autre n'avait jamais permis un tel rapprochement. Mais par l'entremise de la caméra, la glace se brise pour faire émerger un échange inédit.
L'avis du FIFIB
Ce portrait intime d’une mère par sa fille trouve toute sa grâce dans la pudeur des discussions. La fille parvient à filmer sa mère dans l’intimité, toujours sincère, toujours touchante. On y apprend les somnifères, les secrets, l’anxiété, certaines douleurs jamais passées, et alors qu’on rentre dans le mythique appartement d’un certain Serge Gainsbourg, rue de Verneuil, on avait presque oublié que cette discussion était celle de deux icônes. À jamais proches de nous dans la difficulté de raccourcir le lointain qui sépare la mère de l’enfant qui a grandi. — Natacha Seweryn
Biographie/filmographie
Charlotte Gainsbourg grandit sur les plateaux de tournages et d’enregistrements auprès de ses parents, Jane Birkin et Serge Gainsbourg. Elle débute au cinéma à l’âge de 13 ans en jouant la fille de Catherine Deneuve dans Paroles et musique d’Élie Chouraqui. En 1986, elle remporte le César du meilleur espoir féminin pour son interprétation dans L’Effrontée de Claude Miller. La même année, son père la dirige dans Charlotte for Ever. Depuis, elle étend son registre de comédienne en s’impliquant dans de nombreux films, sous la direction de réalisateurs aux univers très différents : Cement Garden d’Andrew Birkin (1993), Jane Eyre de Franco Zeffirelli (1996), Ma femme est une actrice d’Yvan Attal (2001), 21 Grammes d’Alejandro G. Iñárritu (2003), Golden Door d’Emanuele Crialese (2006), La Science des rêves de Michel Gondry (2006), I’m Not There de Todd Haynes (2007), L’Arbre de Julie Bertuccelli (2010) ou encore Antichrist (2009), Melancholia (2011) et Nymphomaniac (2013), tous trois réalisés par Lars von Trier. En 2009, elle reçoit le Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes pour Antichrist. Parallèlement à sa carrière d’actrice, elle mène une riche carrière d’auteure-compositrice-interprète. Son premier long métrage en tant que réalisatrice, le documentaire Jane par Charlotte consacré à sa mère, est présenté cette année au Festival de Cannes.
2021 - JANE PAR CHARLOTTE - Charlotte Gainsbourg - Réalisatrice, scénariste
Charlotte Gainsbourg
Jane Birkin et Charlotte Gainsbourg
Nolita Cinema, Deadly Valentine
Jour2Fête
The Party Film Sales
de Charlotte Gainsbourg
Charlotte Gainsbourg grandit sur les plateaux de tournages et d’enregistrements auprès de ses parents, Jane Birkin et Serge Gainsbourg. Elle débute au cinéma à l’âge de 13 ans en jouant la fille de Catherine Deneuve dans Paroles et musique d’Élie Chouraqui. En 1986, elle remporte le César du meilleur espoir féminin pour son interprétation dans L’Effrontée de Claude Miller. La même année, son père la dirige dans Charlotte for Ever. Depuis, elle étend son registre de comédienne en s’impliquant dans de nombreux films, sous la direction de réalisateurs aux univers très différents : Cement Garden d’Andrew Birkin (1993), Jane Eyre de Franco Zeffirelli (1996), Ma femme est une actrice d’Yvan Attal (2001), 21 Grammes d’Alejandro G. Iñárritu (2003), Golden Door d’Emanuele Crialese (2006), La Science des rêves de Michel Gondry (2006), I’m Not There de Todd Haynes (2007), L’Arbre de Julie Bertuccelli (2010) ou encore Antichrist (2009), Melancholia (2011) et Nymphomaniac (2013), tous trois réalisés par Lars von Trier. En 2009, elle reçoit le Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes pour Antichrist. Parallèlement à sa carrière d’actrice, elle mène une riche carrière d’auteure-compositrice-interprète. Son premier long métrage en tant que réalisatrice, le documentaire Jane par Charlotte consacré à sa mère, est présenté cette année au Festival de Cannes.
2021 - JANE PAR CHARLOTTE - Charlotte Gainsbourg - Réalisatrice, scénariste